Fisterroa. ..Eh bien non !
Hier dans mes préoccupations troublées concernant la désignation d'une nouvelle adresse de blog, j'ai inscrit une solide coquille. Fisterroa pour le Cap Finisterre en Galice. . . . Eh bien non, c'est le Cabo Fisterra. Les experts du chemin vont m'agonir ! Mais je ne vais pas nous encombrer d'une nouvelle adresse. Nous allons faire avec mon Fisterroa.
Ceci m'amène sur le terrain de l'écrit, et de ses coquilles justement. C'est bien le moment, les coquilles, pour le but qui m'appelle!
C'est ce matin, en me penchant sur mon chemin , l'esprit libre des tracas de piratage, que je réalise que j'ai écrit Fisterroa...par quel effet ? Une affaire de musique inconsciente des mots, peut être. Relisant ces derniers jours les chroniques passées (un post, dit - on en langue Web) , j'ai ainsi repéré quelques autres coquilles orthographiques qui m'avaient bien sûr échappé à la première lecture, parfois même à la relecture. Le cerveau est trompé par l'évidence du mot qu'il écrit, et s'assure inconsciemment même avoir bien écrit, au point de ne pas voir la faute évidente.
Eh bien, mon esprit reposé ne va pas vous contraindre à un nouvel effort. Nous allons nous poser sur cette fausse bonne adresse
paulo-fisterroa.blogspot.fr.
Et je vais me demander quel est ce O qui s'invite au bout du chemin. Y aura-t-il sur mes pas un psychanalyste averti pour me proposer des pistes sur la "route du O", sur la "route de l'O"?
Sur ces considérations psychologiques, un bonjour de Toulouse où le ciel arrose avec une douce ferveur les pelouses occitanes!
Je veux bien, demain, un peu de soleil sur mes chemins basques !
Très jolie photo. On y va pour fisterrOa !
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